Bonjour à tous,
Comme annoncé dans mon précédent message, je reviens vers vous suite aux annonces gouvernementales et à l’évolution de la crise sanitaire sur le territoire national et dans le Rhône.
Vous l’avez peut-être lu ou entendu, le seuil de 50 cas positifs pour 100 000 habitants a été tout récemment dépassé dans notre département, nous positionnant ainsi dans les 10 départements considérés en situation de « vulnérabilité élevée ».
Dans ce contexte, il nous paraît raisonnable de prendre un peu plus de temps pour organiser le retour généralisé sur site de tous les collaborateurs et nous avons donc décidé de décaler au 1er octobre ce retour généralisé initialement prévu le 1er septembre.
Ainsi, les mesures listées dans l’évolution de notre plan de déconfinement (cf. annexe à mon message du 12 juin sur ce site) s’appliquent jusqu’au 1er octobre et sont complétées de celles annoncées par le gouvernement.
L’alternance présence sur site / télétravail est maintenue par rotation avec une présence au bureau de 2 jours minimum par semaine (pour les agents travaillant 4 ou 5 jours par semaine) et d’une journée minimum pour ceux dont le temps de travail est inférieur à 80%. Les managers, garants de l’organisation du travail des équipes en cette période délicate, peuvent, s’ils le souhaitent, disposer d’une journée de télétravail par semaine.
Ces dispositions doivent prendre en considération la continuité de service, notamment pour les services en contact avec le public et les services supports.
Le télétravail à 100% des personnes dites vulnérables ou à risque est maintenu sur tout le mois de septembre.
Les dispositions exceptionnelles en matière de temps de travail diffusées dans la note RH (cf. annexe à mon message du 28 mai sur ce site) sont également maintenues.
Les collaborateurs ont toujours la possibilité de continuer à déjeuner dans leur bureau si les mesures sanitaires sont réunies ou à la cafétéria Vivier Merle sur inscription préalable et dans la limite des places disponibles. A ce titre, je rappelle toute l’importance d’observer les gestes barrières et le sens de circulation dans cet espace collectif.
Outre les zones de circulation, l’obligation du port du masque est étendue à partir du 1er septembre à tous les espaces partagés que sont les salles de formation, de réunion, de convivialité et tous les bureaux collectifs. Pour les bureaux individuels, le port du masque ne s’impose pas dès lors qu’il n’y a qu’une seule personne présente.
Chaque collaborateur a été doté d’un kit sanitaire lors de son retour sur site. Pour tout besoin de renouvellement, il convient de se rapprocher de son manager.
Ces mesures, en vigueur pour tout le mois de septembre, feront l’objet de nouveaux échanges avec les représentants du personnel lors d’un CSE prévu mi-septembre.
Pour la santé de tous, je compte sur chacun pour appliquer quotidiennement les mesures sanitaires et les gestes barrières, au premier rang desquels le respect du protocole Covid-19 en cas d’apparition de symptômes (cf. annexe 2 de notre plan de déconfinement local diffusé dans mon message du 20 mai et sur Cafcom/Vie au travail/Santé au travail). Ces règles, qui constituent désormais un socle de notre vie collective, sont impératives pour vous protéger, mais aussi pour protéger vos collègues.
Pour rappel, la première mesure à respecter consiste à ne pas venir sur son lieu de travail lorsqu’on présente des symptômes. Pensez à vos collègues si vous avez le moindre doute. Appelez un médecin et procédez à toutes les vérifications nécessaires quant à votre état de santé avant de venir au bureau.
Et, en cas d’apparition de symptômes pendant la journée de travail, ne vous déplacez pas jusqu’au service de santé au travail, mais contactez le 04 72 68 36 56 pour prévenir un membre de la cellule Covid-19. Prévenez aussi immédiatement votre manager et restez à votre poste dans l’attente d’être pris en charge. En effet, se déplacer avec des symptômes à l’intérieur de la Caf expose les collègues ainsi que leurs proches.
Notre engagement collectif nous a permis de faire face à une situation inédite et brutale au mois de mars. Je ne doute pas que nous saurons aborder les mois à venir avec la même prudence et la même vigilance dans un contexte sanitaire qui ne s’avère pas encore stabilisé.
Bien à vous,
Véronique Henri-Bougreau
Directrice générale.